L’étude visait avant tout à quantifier les impacts directs et indirects de l’usage du vélo :

• les « impacts directs » regroupent les effets liés au marché économique : l’achat de vélos et d’accessoires, la construction d’infrastructures, les subventions au secteur associatif… Tous ces aspects ont été mesurés à la fois en termes d’emplois et de chiffre d’affaires ;
• pour les « effets indirects », il s’agissait d’évaluer les bénéfices sociétaux, tirés de la pratique du vélo, pour lesquels les cyclistes ne sont pas rétribués : meilleure santé, meilleure qualité de l’environnement, décongestion…

Dans un second temps, Pro Velo et Transport & Mobility Leuven ont établi des projections afin de mesurer ces effets directs et indirects dans le cadre d’une augmentation de la pratique du vélo d’ici 2020.

Enfin, les possibilités de financement d’une politique plus engagée en faveur du vélo ont été étudiées.

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